Soumis par Didier le 24 août 2011, 15:15

Généralités

• Nom du bourg le plus proche: Sinnamary
• Lieu où mettre à l’eau :Sur le pont sur la route de l’espace, juste à côté des intallations Soyouz.
• Lieu d’arrivée: On remonte au point de départ.
• Comment s’y rendre : En voiture.
• État de la route : Bon.
• Où peut-on garer la voiture : Juste à côté du pont. Pour la sécurité des lieux ?

La crique

Le parcours

8 km à parcourir pour arriver à la mer en août 2011, crique étroite mais avec un peu de passage, des troncs tronçonnés.

On pourra se faire surprendre par un courant qui se renforce parfois, et peut avoir tendance à entrainer un pagayeur inattentif dans des racines de palétuvier peu engageantes.

Carte: fond IGN capturé sur geoportail.fr, image aérienne en transparence pour identifier le site Soyouz, relevé GPS personnel ajusté sur la carte avec QlandkarteGT. La carte est réduite par le navigateur pour l’affichage, téléchargez-là pour qu’elle soit plus lisible.

Peu d’endroits où débarquer, les moustiques se chargeant probablement de décourager les plus téméraires, on attendra d’atteindre l’océan pour sortir des bateaux. Là, le cordon sablonneux sur lequel subsistent quelques palétuviers permet de s’arrêter, et d’analyser la situation pour la poursuite vers les battures de Malmanoury.

En août 2011, celles-ci sont visibles, à 3,3km à vol d’oiseau de l’embouchure de la Malmanoury. Par mer calme, nous avons pu nous y rendre sans difficulté, les ilets rocheux, garnis de quelques cactus et assidûment fréquentés par les oiseaux de mer, sont très sympa.

Les battures de Malmanoury. Photo de Boris.

À marée basse, de petites plages de sables et de coquillage sont accessibles, un endroit très sympa donc pour y rester un peu, mais sans ombre.

Le retour vers l’embouchure, à marée plus haute si le timing est bon pour profiter de l’aide de la marée pourra s’avérer délicat si la mer est formée. La houle déferle alors au milieu des troncs de palétuviers couchés, et l’entrée de la crique est étroite et peu visible: laisser un repère visible permet de se lancer plus confiant, et il faut de toute manière être très méfiant dès qu’il y a de la houle.

Évaluations

Saison des pluies

• Niveau d’eau constaté : Je n’ai jamais tenté.  À remplir.
• Évaluation du courant : À remplir.
• Niveau d’encombrement :À remplir.
• Passages difficiles, erreurs à éviter :À remplir.
• Orpaillage constaté (date) : À remplir.

Saison sèche

• Niveau d’eau constaté :Le niveau d’eau raisonnable permet à la marée d’avoir un effet très sensible sur tout le cours de la rivière. On fera donc très attention à l’horaire des marées, mais comment pourrait-il en être autrement pour un estuaire?
• Évaluation du courant :Il se renforce légèrement lors de rétrécissements, mais jamais insurmontable ni inquiétant.
• Niveau d’encombrement : Bien dégagé pour une crique si étroite parfois.
• Passages difficiles, erreurs à éviter : Le retour de la mer vers la crique si on va aux battures peu être délicat.

Orpaillage constaté (date) : Nul.

À observer… ou pas.

Différentes forêts. Le passage aux travers des terrains du CSG, interdits à la chasse, permet d’espérer des observations de mammifères: singes, cabiaï, toute la faune de mangrove…

Bivouac

Pas de bivouac à prévoir généralement

Points GPS:

Je n’ai trouvé aucun point très spécifique à relever, section à compléter donc.